2h30 un bout de vie de peintre anglais, c’est long mais ça vaut la peine!

It’s worth leaving it 🙂

Turner crache sur sa toile et ses couleurs jubilent.

Turner grogne, sue, baise, bouffe, picole, et ses tempêtes sortent du cadre.

Le soleil se lève, le clavecin pleure, la joue de porc rougit, le jaune d’œuf s’écrase… Turner peint.

Il peint des marines, des noyées, des navires fantômes.

Il peint ses larmes putatives, ses gosses abandonnées, ses amours cachées, ses jouissances salines.

Il peint pour la postérité, et je l’en remercie…

Thank you Turner, thank you Leigh, and thank you Spall…